CHAPITRE II
EXPLOITATION DES DONNEES
A. PREPARATION DE L’EXPLOITATION
Les travaux pr paratoires de l’exploitation des donn es du troisi me recensement g n ral de
la population et de l’habitat ont commenc en janvier 1999. Ce retard s’explique par des raisons
financi res qui taient la base de l’arr t des activit s entre la publication des r sultats
provisoires et le d but de l’exploitation des donn es. Cette pr paration a port sur :
1 le choix des équipements informatiques,
2 la conception de l’exploitation informatique
3 le calendrier des activit s de l’exploitation.
I . CHOIX DES EQUIPEMENTS INFORMATIQUES
Le choix des quipements informatiques tait relatif au l’environnement informatique dans le
district de Bamako, au support fournisseur avant et apr s l’installation du mat riel informatique,
au volume des donn es traiter ainsi qu’ la dotation budg taire allou e cet effet.
1.1. ENVIRONNEMENT INFORMATIQUE ET SUPPORT FOURNISSEUR.
Avec le développement de la micro-informatique, plusieurs fournisseurs de la place
représentaient différents types de machines. A cet effet, la nécessité de choisir une marque de
micro-ordinateur capable de traiter le volume important de donn es s’imposait.
C’est ainsi qu’apr s examen des diff rents mat riels disponibles sur la place que la marque IBM
a été retenue.
1.2. VOLUME DE DONNEES A TRAITER ET EFFECTIF DES AGENTS DE SAISIE
Sur la base des estimations faites partir du questionnaire, le nombre de frappes et l’effectif des
agents de saisie ont été déterminés. Initialement, 80 agents de saisie avaient été recrutés et formés
la suite d’un test organis par le BCR. Suite aux recommandations de la mission de l’Equipe
d’Appui Technique du FNUAP, l’effectif des agents de saisie a t port 120 r partis entre 3
quipes dont une quipe fixe de nuit. L’objectif vis ici tait de terminer la saisie des
questionnaires dans un d lai de 8 mois. Ce r sultat pu tre atteint gr ce l’implication de toute
l’ quipe charg e de l’exploitation des donn es.
1.3. LE CHOIX DU MATERIEL
L’exploitation informatique des donn es du troisi me recensement de la population a n cessit
l’achat par la DNSI de 25 micro-ordinateur de marque IBM avec écran couleur. Ce parc a été
port au mois d’avril 1999 55 avec la mise la disposition du BCR de 26 micro-ordinateurs
marque « DELL » pentium 305 avec écran couleur et 4 micro-ordinateurs marque « COMPAQ »,
pentium 305, écran couleur, 28 onduleurs UPS-700,
2 imprimantes matricielles et 1 imprimante Laser avec accessoires par le bureau du FNUAP au
Mali. A cela, il faut ajouter galement l’achat d’un graveur de donn es, d’un lecteur ZIP avec
cassettes et des CD. Les appareils cités ont une grande capacité de stockage de données, une
r sistance aux variations de tension du courant ainsi qu’une haute performance dans le traitement
des données.
II. ORGANISATION DE L’EXPLOITATION.
L’exploitation des donn es du troisi me recensement g n ral de la population et de l’habitat a
commencé le 8 février 1999 et était axée autour des domaines suivants :
3 Section archives
Apr s les op rations de collecte des donn es sur le terrain, l’ensemble des dossiers
des 13150 SE contenant les questionnaires ménages sont parvenus au BCR à Bamako où ils sont
t d’abord centralis s puis envoy s pour leur classement aux archives Koulouba suivant
l’organisation administrative du pays. Avec 2 v hicules, cette section tait charg e de ravitailler
les autres sections en dossiers SE sis au quartier N’Golonina situ a plus de 20 km des archives
4 Section Contrôle
Cette section qui est le premier maillon de traitement des données était chargée de
passer toutes les informations du questionnaire en revue et de procéder à des contrôles de
coh rence, d’exhaustivit et de vraisemblance de l’ensemble des informations contenues dans les
dossiers SE. Un cahier de charges a été élaboré à cet effet et mis à la disposition des agents.
5 Section Codification
Cette section était chargée de transcrire dans les grilles de chiffrement, les
informations contenues dans les questionnaires ménages en code précis élaborés à cet effet et
dûment consignés dans le manuel de codification.
6 Section Saisie
Cette section avait pour mission d’introduire l’ordinateur les informations
préalablement codifiées. La section saisie a commencé ses activités le 15 février 1999 avec 30
micro-ordinateurs. Le nombre de postes de saisie a été ensuite porté à 40 sur lesquels travaillaient
120 opérateurs répartis entre 3 équipes dont une fixe de nuit.
Le fonctionnement des différents sections a mobilisé 70 agents vérificateurs, 48 agents codifieurs
et 120 opérateurs de saisie qui ont été recrutés et formés parmi les diplômes sur le marche de
l’emploi la suite d’un test. Le personnel des sections v rification et codification tait organis
en 2 équipes qui travaillaient de 8h00 à 14h00 et de 14h30 à 19h30. Celui de la section saisie était
organisé du 8 février au 15 juin 1999 en 3 équipes travaillant respectivement de 8h00 à 11h30, de
12h00 à 15h30 et de 16h00 à 19h00.
Avec l’augmentation du parc informatique 40 micro-ordinateurs à partir du 15 juin 1999,
l’effectif des op rations de saisie a t port 120 et tait organis en 3 quipes qui travaillaient
respectivement de 7h30 14h00, de 14h30mn 21h00 et de 23h00 6h00 du matin pour l’ quipe
fixe de nuit.
Chacun des agents recrutés avait signé un engagement avec la DNSI qui traitait entre autres, du
mode de paiement et du r glement int rieur pour l’ex cution correcte du travail.
Dans le souci de garantir la qualit et l’exhaustivit du travail d’exploitation des donn es, une
organisation stricte et bien hi rarchis e de l’encadrement administratif et technique a t mise en
place. Le personnel d’encadrement tait compos de fonctionnaires ayant acquis une solide
exp rience en mati re d’exploitation des donn es de recensement. Il tait constitu de :
_ 1 Superviseur Général
_ 1 Superviseur Général Adjoint
_ 1 Contrôleur
_ 8 Chefs d’ quipe
_ 17 Chefs de table
_ 1 Chef Archiviste
Le Superviseur G n ral qui est le Directeur National de la Statistique supervisait l’ex cution des
diff rentes phases du recensement en g n ral et celles de l’exploitation des donn es en
particulier. Pour ce faire, il prenait toutes les dispositions nécessaires aux bons déroulements des
travaux. Aussi, il s’occupait sp cifiquement de l’encadrement technique des chefs d’ quipe du
contrôle, et de la codification pour avoir participé aux deux premiers recensements.
Le Superviseur Général était secondé par un Superviseur Général Adjoint qui a également
particip aux deux recensements pr c dents. Ce dernier, en plus de l’assistance qu’il apportait au
Superviseur G n ral tait charg sp cifiquement de l’encadrement technique des chefs d’ quipe
de la saisie
Le chef de la Division Population quant à lui assurait le contrôle général des opérations. A ce
titre, il tait charg de la coordination des activit s des quatre sections de l’exploitation et de
rendre compte de l’ tat d’avancement des travaux globalement. Ainsi, il s’occupait des
problèmes techniques entre les différentes sections, des problèmes administratifs concernant les
agents temporaires, de l’ valuation des besoins en fournitures n cessaires au bon d roulement des
travaux d’une mani re g n rale, de l’ valuation et de l’ tablissement des tats de paiement des
chefs d’ quipe. Le contrôleur g n ral devait galement assurer la supervision sp cifique des
chefs d’ quipe de la section v rification.
La mission des chefs d’ quipe portait sur la v rification par sondage du travail des chefs de table,
la r solution de certains probl mes techniques ainsi que le maintien de l’ordre et de la discipline
dans les salles. Ils taient galement charg s d’aider l’archiviste ravitailler les diff rentes tables
en dossiers, de remplir la fiche de pr sence pour les chefs de table, d’ valuer le rendement et la
qualit du travail des chefs de table, d’ tablir l’ tat de paye des agents la fin de chaque mois et
rendre compte de l’ tat d’avancement des travaux au sein de leurs quipes respectives et
différents problèmes rencontrés.
Les chefs de table avaient en charge la distribution des dossiers entre les agents placés sous
leur responsabilit . A ce titre, ils devaient s’assurer que le travail fait par ces agents est correct en
procédant à une vérification par sondage de 10% du volume de travail de chaque agent placé sous
leur autorit . De plus, ils devaient remplir un certain nombre d’imprim s permettant de connaître
la quantité et la qualité du travail, la conduit et la tenue de chaque agent de leur table.
Les archivistes quant à eux, devaient assurer le ravitaillement des agents en dossiers feuilles
m nages, envoyer sur demande des chefs d’ quipe de la v rification des dossiers d j v rifi s la
section codification, recevoir des sections codification et saisie, des dossiers déjà codifiés ou
saisis et enfin les reclasser. Ils devaient en outre, remplir et émarger les registres de sortie et
d’entr e des dossiers.
La complexit de l’exploitation des donn es du recensement exigeait que les fonctions
d’encadrement et de contrôle soient assur es par des sp cialistes (d mographes, statisticiens et
informaticiens ). A cet effet, l’organisation interne de la DNSI a t r vis e pour satisfaire le
besoin en personnel sp cialis conform ment l’organisation mise en place. C’est ainsi que la
Division Population charg e de l’exploitation des donn es du recensement a t renforc e par 17
agents provenant des autres divisions de la DNSI. A cela, il convient d’ajouter que l’effectif des
chefs de table ainsi que celui des chefs d’ quipe pouvaient varier dans le temps en fonction du
volume et de la qualité du travail.
MODE DE PAIEMENT
Dans la cadre de l’am lioration de la production et de l’ quit dans la r mun ration du personnel,
deux modes de paiements avaient été retenus :
a)
La rémunération des agents recrutés
La r mun ration des agents recrut s comme stipul dans l’engagement qu’ils ont sign et qui les
liait la DNSI dans la cadre de l’exploitation des donn es tait fonction du rendement et de la
qualit du travail. Les prix unitaires et le bar me des taux d’erreurs par cat gorie d’agent ont t
fix s par note de service du Directeur National de la Statistique et de l’Informatique. Il faut noter
que l’avantage d’un tel dispositif tait de maîtriser les d lais d’une part et d’ viter un
d passement de budget d’autre part. De m me les l ments de r mun ration pouvaient tre
modifi s par note de service en fonction de l’ tat d’avancement et la qualit du travail. Enfin ces
mesures ont été portées à la connaissance des agents avant le début du travail.
b) Indemnités des encadreurs
Les agents de la DNSI qui taient affect s aux travaux d’exploitation des donn es du
recensement b n ficiaient d’une indemnit appel e « Bonus de performance » . Le travail
d’encadrement technique et de gestion administrative de l’exploitation des donn es du
recensement n cessitait beaucoup d’efforts et de disponibilit de la part des encadreurs. Ainsi, le
personnel d’encadrement tait appel travailler tr s tard dans la journ e durant les 7 jours de la
semaine et m me les jours f ri s. Ce type d’organisation était nécessaire dans la mesure où
certains aspects du travail de contrôle de qualit ne pouvaient se faire qu’apr s le traitement des
dossiers par les agents. Aussi, il faut signaler que le personnel de la DNSI affecté à cette
op ration continuait de s’occuper des activit s habituelles du service. Ainsi, dans le souci
d’obtenir de bons r sultats, il fallait motiver le personnel qui constituait le maillon le plus
important de la chaîne de traitement des données. A cet effet, des bonus de
performance ont été institués par note de service qui a fixé les fourchettes de variation par
cat gorie d’encadreur et pr cisait le principe de d termination des montants mensuels.
III.CALENDRIER DES ACTIVITES DE L’EXPLOITATION
Le tableau suivant donne le calendrier des activit s d’exploitation des donn es :
Tableau Nº 8 : Calendrier des activités d’exploitation des données
ACTIVITES
LIEU
DEBUT
DUREE
TRAITEMENT DES DONNEES
1. Centralisation des dossiers
Bamako
25 avril 1998
1 mois
2. Dépouillement préliminaire
Bamako
mai 1998
2 mois
3. Vérification et Codification
a. Recrutement et formation
Bamako
juin 1998
1 mois
b. Vérification et codification
Bamako
juillet 1998
12 mois
4. Saisie
a. Recrutement et formation
Bamako
juin 1998
2 mois
b. Saisie
Bamako
août 1998
12 mois
5. Correction et tabulation
Bamako
octobre 1998
15 mois
B. EXECUTION DE L’EXPLOITATION
I. VERIFICATION ET CODIFICATION DES DONNEES
1.1 ORGANISATION ET EXECUTION DE LA VERIFICATION
Cette phase de l’exploitation des donn es du recensement avait pour objectif principal, de faire
passer toutes les informations du questionnaire en revue et de procéder à des contrôles de
coh rence, de vraisemblance et d’exhaustivit des concessions et des m nages de chaque dossier
SE. Pour ce faire, il a t d’abord proc d l’ laboration d’un cahier de charge. Le travail de
vérification était effectué par 71 agents recrutés et repartis entre 2 équipes qui se relayaient.
Chaque table tait plac e sous l’autorit d’un chef de table qui tait un agent de la DNSI.
2 La première qui était composée de 35 agents répartis équitablement entre 5 tables
travaillait de 8h00 à 14h00.
3 La deuxième équipe composée de 36 agents répartis également entre 5 tables travaillait de
14h 30mm 19h30mm. Chaque quipe tait supervis e par un chef d’ quipe qui son
tour tait plac sous l’autorit du contrôleur g n ral ( chef de la Division Population ).A
ce dernier, les chefs d’ quipe fournissaient un rapport hebdomadaire assorti d’un tableau
statistique sur la production hedomadaire dument rempli.
Pour pouvoir bien mener le travail de vérification des dossiers, les documents techniques
suivants ont été élaborés :
_ Le registre de circulation des dossiers entre les sections. Ce registre qui liait les chefs
d’ quipe celui des archives permettait de situer la responsabilit de chacun dans le suivi et
l’ valuation des activit s ;
_ Le registre de circulation des dossiers l’int rieur des sections ; permettait de situer les
responsabilités en cas de perte de dossier et savoir également si tous les dossiers émanant des
archives ont été vérifiés ;
_ La fiche de production : permettait de suivre et d’ valuer la production hebdomadaire de
chaque agent ainsi que son taux d’erreur pour la d termination de la prime mensuelle ;
_ Le cahier de charge : permettait à chaque agent, vérificateur de corriger les erreurs
commises par les agents recenseurs sur le terrain. Cependant, le cahier de charge ne pouvait
pas pr voir l’ensemble des probl mes rencontr s sur le terrain.
Le graphique suivant montre l’ volution du nombre de m nages v rifi es de f vrier juin
1999.
Graphique 2 :
NOMBRE DE MENAGES VERIFIES
5000
4500
4000
3500
3000
2500
NOMBRES DE
2000
MENAGES VERIFIES
1500
1000
500
0
FEVRIER
AVRIL
JUIN
1.1.1 PROBLEMES RENCONTRES ET SOLUTIONS PROPOSEES
En plus de ceux voqu s dans le cahier de charg , d’autre types de probl mes ont t
rencontrés lors des travaux de vérification : Il s’agit entre autres de certains cas tels que :
4 Sur certains questionnaires, il était indiqué « Bâna » en P10 (handicap) qui semble
signifier maladie sans autres précision. Pour résoudre ce problème, il a été crée un code
11 ( autre handicap),
5 La ré numérotation des concessions à cause de la présence de concessions vides,
ralentissait de beaucoup le travail. Un procédé très rapide a été trouvé dans ce cas. Il
s’agissait de faire monter les derniers num ros de concessions occup es dans les places
vides.
6 Le nombre de résidents dans le ménage était souvent différent de celui enregistre dans le
tableau récapitulatif du questionnaire. Il a été donc instruit aux agents de se référer à
l’effectif du m nage.
7 L’enregistrement de plusieurs m nages sur un m me questionnaire dû par endroit la
rupture de stock de questionnaires. La solution apportée à ce problème était de procéder à
l’ clatement des m nages. Cet clatement consistait scinder en un nombre de m nages
égal aux nombre de chefs de ménages sur le questionnaire pour ce faire il a été demandé
aux agent de maintenir le premier ménage sur le questionnaire et rapporter les autres
ménages sur des questionnaires vièrges, puis les biffer sur le questionnaire original. Ainsi
une attention particulière devait être accordée à la ré numérotation des membres du
m nage apr s le repport sur les questionnaires vi rges. Cette proc dure d’ clatement des
ménages a posé aussi quatre types de problèmes :
1) Par rapport au tableau de décès des douze derniers mois : le ménage
dans lequel tait survenu le d c s n’ tait pas indiqu . A ce propos, il t
demandé aux agents de maintenir le décès sur le questionnaire original,
c’est-à-dire le premier ménage.
2) Par rapport aux questions sur l’habitat : il a été demandé aux agent de
recopier toutes les r ponses aux questions l’habitat du m nage 01 sur les
nouveaux questionnaires ménages, exceptée la réponse au nombre de
pièces occupées par le ménage. Cette réponse était considérée comme
non déclarée (99) ;
3) Par rapport aux naissances des douze derniers mois ; la question qui se
posait était de savoir dans quel ménage était survenue la naissance. Pour
cela, il a été demandé aux agents de se référer aux deux dernières
colonnes du tableau des naissances sur le questionnaire original, c’est-à-
dire, le num ro d’ordre de la m re dans le m nage et l’ ge de la m re
la naissance de l’enfant qui est inf rieur celui de la m re au moment
du recensement d’au plus 1.
4) L’ clatement des questionnaires comportant plusieurs m nages a pos
un problème de rendement pour les agents concernés. A cet effet, un
coéfficient correcteur de 1,5 a été retenu pour compenser le retard dû à
l’ clatement des m nages.
8 Les num ros de concessions se r p taient l’int rieur de certaines SE. La solution ce
problème a été de se référer aux numéros de concession dans le registre de visite.
9 Les num ros de m nages se r p taient l’int rieur de certaines concessions. La solution
retenue était la même que précédemment ;
10 Le lien de parenté du chef de ménage était souvent le code 2 ( épouse du chef du ménage).
Dans le cas ou le chef serait une veuve ou une femme dont le mari est absent, il fallait tout
simplement changer le code 2 à 1.
11 Les omissions de certaines naissances des douze derniers mois dans le tableau
correspondant. Il a t pour ce faire demand aux agents d’enregistrer ces naissances dans
le tableau et d’encercler le code 1 la question H1 ;
12 Les d c s en jours des douze derniers mois n’ taient souvent pas enregistr s dans le
tableau des décès des douze derniers mois. Il a donc été demandé aux agents de les
enregistrer dans le tableau correspondant.
13 Les décès en mois des douze derniers mois figurant déjà sur le tableau correspondant
étaient souvent enregistrés par certains agents vérificateurs dans le tableau des naissances
des douze derniers mois. La solution préconisée était de ne pas enregistrer ces décès dans
le tableau des naissances dans la mesure où certains décès en mois survenus au cours des
douze derniers mois ne sont pas des naissances survenues dans les douze derniers mois.
Donc ailleurs, les agents devaient laisser comme tels tous les décès en mois figurant à la
fois sur le tableau des décès et sur le tableau des naissances ;
14 La date de naissance d clar e ne correspondait pas souvent l’ ge du recens . Il a donc
été demandé aux agents de :
1) Calculer l’ ge en diff rence de mill sime en faisant la diff rence entre l’ann e du
recensement (1998) et l’ann e de naissance d clar e ;
2) Vérifier si le recensé a fêté son dernier anniversaire ou non en comparant le jour et le mois de
naissance déclarés à ceux du recensement. En effet, si le recensé a fêté son dernier anniversaire,
alors son ge correspondra l’ ge en diff rence de mill sime, dans le cas contraire, son ge serait
d termin en d duisant 1 de l’ ge en diff rence de mill sime.
1.2. ORGANISATION DE LA CODIFICATION
La section codification était chargée de transcrire les codes des variables non précodées, corriger
les erreurs constatées sur les variables précodées et vérifier la cohérence d'ensemble des variables
entre elles et enfin veiller au respect des filtres implicites. En effet la codification permettait de
valider les travaux des équipes de vérification et de finaliser les codes des variables avant la
phase de saisie. Il faut rappeler que la phase de codification a continué même après la saisie
compte tenu du fait que les r sultats devant tre significatifs jusqu’au niveau des communes
rurales et urbaines, chaque village et unité de peuplement du territoire national devaient être
rattachés à des communes.
1.2.1 Déroulement des travaux de codification
Pour la bonne exécution des travaux de codification, deux équipes de codifications ont été
formées. Les deux équipes étaient composées chacune de groupes de travail ou « Tables » (4 pour
l'équipe 01 et 3 pour l'équipe 02). Au niveau de chaque table, il avait 8 à 10 agents de
codification.
Chaque équipe était placée sous le contrôle d'un Chef d'équipe et chaque table sous le contrôle
d'un Chef de Table. Les travaux du Chef de table étaient contrôlés par le Chef d'équipe. Le Chef
d'équipe avait également pour tâche, de rendre compte de l'état d'avancement des travaux de
codification à la Direction, de veiller au respect des consignes de travail et de discipline dans la
salle. Un rapport hebdomadaire était déposé auprès du Chef de la Division Population.
Les agents étaient munis de manuels de codification dans lesquels figurent les différents codes de
variables et les consignes pour la bonne exécution du travail.
NOMBRE DE MENAGES CODES
7000
6000
5000
4000
NOMBRE DE MENAGES
3000
CODES
2000
1000
0
février
mai
aout
Le graphique suivant montre l’ volution du nombre m nages cod s de f vrier octobre 1999.
Graphique 3.
1.2.2. Problèmes rencontrés dans les différentes parties du questionnaire
- Première cartouche réservée aux identifiants: pas de problèmes majeurs sauf qu'il fallait ajouter
une case supplémentaire à la partie « Quartier pour commune urbaine ». Comme on se rendra
compte plus tard, beaucoup de villages n'ont pas été placés dans leurs communes réelles
d'appartenance.
- Deuxième cartouche concernant les caractéristiques RP, RA, V, RP+RA et RP+V: cette partie a
enregistré des erreurs de sommation tout comme la partie concernant « le nombre total de
questionnaires utilisés dans le ménage »
7 A l'intérieur du questionnaire, numéroté de PO à P30, certaines réponses
étaient entachées d'erreurs
a) le numéro d'ordre devait avoir deux positions tel n'était pas toujours le cas
b) L'ordre d'enregistrement des membres du ménage n'était pas toujours respecté
c) au niveau de P3, le lien de parenté avec le chef de ménage, plus d'une personne avait le code 1
qui est réservé uniquement au Chef de ménage. Souvent c'est CM au lieu de 1 qui apparaissait
comme lien de parenté du chef de ménage.
d) au niveau de P5, situation de résidence : certaines erreurs ont été rencontrées et souvent des
surcharges rendaient illisible le code.
e) la date de naissance ne devait être remplie qu'en cas de précision du jour, mois, année. Certains
ont simplement mis l'année.
d) L'âge en année révolue comportait deux cases, et la règle de remplissage, consistant à
compléter par 0 à gauche s'il s'agit d'un chiffre. Cela n'a pas été respecté dans certains cas.
e)La durée de résidence ne devait concerner que les migrants, et non les non-migrants et les
visiteurs
f) Le lieu de résidence antérieur ne concerne pas les visiteurs
g) Le nombre de naissances vivantes totales (P29) des femmes de 12 ans et plus doit être
supérieur ou égal au nombre d'enfants survivants (P30)
h) Les évènements des 12 derniers mois ont été, soit mal remplis, soit remplis avec des erreurs,
surtout l'âge de la mère à la naissance de l'enfant.
- Le volet Habitat
Toutes les colonnes n'ont pas été renseignées, surtout les parties : Nombre de pièces occupées
(H25) et existence de foyer amélioré (H26)
Il. Quelques consignes données aux agents de codification
1. Transformer les codes de lieux de naissance, lieux de résidence antérieure, lieux de résidence
habituelle et Nationalité en code numérique à 3 positions dont la première position sera :
* le chiffre 0 pour les cercles du Mali. Ce chiffre sera suivi des codes de cercle à deux positions
habituellement utilisés. Les variables concernées sont: lieu de naissance, lieu de résidence
exprimé en cercle.
* le chiffre 1 pour les autres pays africains. Ce chiffre sera suivi d'une incrémentation à deux
positions pour désigner les différents autres pays africains.
*
le chiffre
2 pour les
pays non africains.
Ce chiffre sera suivi d'une incrémentation à
deux
positions pour désigner
les différents
pays non africains.
Le Mali en terme de nationalité est codé 000. Si le lieu de naissance ou le lieu de résidence
antérieure ou de résidence habituelle est exprimé en région, le code de la région est mis précédé
de deux 0 à gauche Exemple: lieu de naissance région de Kayes, le code correspondant sera 001.
Si le lieu de naissance, ou de résidence antérieure ou de résidence habituelle se situe hors du
Mali, on prendra le code du pays concerné.
2. Codifier les cas de "Non déclaration" par 9 ou 99 ou 999 ne sera plus nécessaire, on laissera les
cases vides ou les questions n'ayant pas reçu de réponses comme tel. Ainsi à la saisie le blanc
voudra dire "Non déclaré".
3. Les femmes de plus de 12 ans pour lesquelles aucune réponse n'est fournie dans
les colonnes P29 et P30 (Naissances vivantes totales et Enfants survivants), il ne
faut rien mettre, ni le chiffre 0 ni le code "Non déclaré". On laissera ces deux cases
comme tel sans changement.
4. Le ménage collectif constitué de personnes sans lien de parenté et vivant sous le
même toît comme dans les hôpitaux, les internats, les prisons etc. se distingue des
ménages ordinaires de la façon suivante :
- Si la mention "Ménage collectif'figure sur le questionnaire, mettre dans la
case réservée au type de ménage sur la page de garde le code 3, et codifier les
autres informations comme pour les ménages ordinaires.
5. Placer une double barre (11) dans la colonne suivante pour les différents cas où les personnes
ne sont pas concernées par une série de questions (exemple: pour les moins de 6 ans, les moins de
12 ans et les hommes, placer respectivement la double barre en Pl 6, P27 et P29.
Pour les personnes de moins de 6 ans, on mettra une double barre (11) dans la colonne Pl 6 Pour
les personnes de moins de 12 ans, on mettra une double barre dans la colonne P27. Pour les
hommes de plus de 12 ans, on mettra une double barre (//) dans la colonne P29.
6. Veiller à ne rien changer, c'est à dire ne pas encercler le code 3 (NSP), si la survie des parents
n’est pas d clar e et au cas il n'a pas t possible de cibler les parents dans le m nage.
7. Changer les codes des "Communes non déclarées" exprimées en alphanumérique en codes
numériques 99. Ce code 99 est valable pour tous ces types de communes inscrites dans des
cercles de façon unique.
8. Changer les codes alphanumériques des "Activités principales". En effet tous les codes
d'activités commençant par (X) verront cette lettre changée en (9). Exemple XI 1 deviendra 91 1.
1.2.3. Méthode utilisée par les Chefs d'équipe pour attribuer des Codes aux
villages et communes :
1. Code des Commnunes rurales
Les communes sont codées par Cercle. Dans le cercle, on classe les communes rurales par ordre
alphabétique croissant. On détermine le pas (R) d'incrémentation des codes en divisant 89 par le
nombre total de commune dans le cercle. La première commune a le code 01, la deuxième a le
code 01 +R, la troisième le code 01 +2*R etc. jusqu'à la dernière commune rurale du cercle.
2. Codes des Communes urbaines
Les différentes communes urbaines du cercle sont classées par ordre alphabétique croissant sans
la commune urbaine qui correspond au chef lieu de cercle qui a le code 91 si ce chef lieu est une
commune urbaine. La deuxième commune urbaine a le code 92, la troisième 93 etc. jusqu'au
dernier.
3. Code des Villages
Les villages sont codés par Commune. Dans la commune, on classe les villages par ordre
alphabétique croissant. On détermine le pas (R) d'incrémentation des codes en divisant 999 par le
nombre total de villages dans la commune. Le premier village a le code 001, le deuxième a le
code 01 +R, le troisième le code 01 +2*R etc. jusqu'au dernier village de la commune.
Toutes ces instructions sont contenues dans un document additif au manuel de codification.
4. CAS DF, NON DECLARATION OU DE CASE VIDE, OUFSTION SANS RFPONSE
- Coder les cas de "Non déclaration" par 9 ou 99 ou 999 ne sera plus nécessaire, on laissera les
cases vides ou les questions n'ayant pas reçu de réponses comme tel sans changement. Cependant
s'il est possible de déduire la réponse à partir des autres colonnes, mettez dans ce cas le code
approprié.
5. ECARTS ENTRE LE NOMBRE DE MENAGES DE LA VERIFICATION ET CEUX
DE LA CODIFICATION
• Lorsque la surestimation du nombre de ménages à la vérification a été constatée, il a été
demandé aux agents de codification de recompter systématiquement le contenu de tous les
dossiers avant de les coder. Cette mesure a permis de cerner le nombre réel de ménages. Il
faut cependant noter que les premiers dossiers qui ont échappé à ce contrôle pourront
expliquer en partie, la différence entre le nombre de ménages codés et ceux issus des résultats
provisoires.
6. RECODIFICATION DES DOSSIERS DE KAYES ET DU DISTRICT DE
BAMAKO
• La codification des dossiers de la région de Kayes a été reprise après ceux du district de
Bamako, afin d’int grer certaines modifications suite la mission de l’Equipe d’Appui
Technique du FNUAP basée à Dakar. Ces modifications portaient essentiellement sur les
parties suivantes de questionnaire :
1) au niveau de la page de garde,
• si la
«commune est une commune non déclarée», le code alphanumérique est
à changer en
99.
- si le ménage est un ménage collectif (hopitaux, prison, internat etc.), le type de
ménage aura le
code 3.
2) au niveau des informations individuelles
• si l’ ge d’un individu est inf rieur 6 ans, mettre une double barre
(//) dans la
colonne
P16
• Si l’ ge d’un individu est compris entre 6 et 12 ans, mettre une double barre
(//) dans la colonne
P 27 quelque soit le sexe
.
• Pour un individu de sexe masculin de plus de 12ans, mettre une double barre
(//) dans la colonne
P29
•
Colonne P9 : les nationalités qui sont codées en alphanumériques sont à
changer en code numérique à trois positions comme consigné dans le dernier
manuel (exple :
ML désignant Mali devient
000)
•
Colonnes P8, et P13 : si le lieu de naissance, le lieu de résidence antérieur ou
le lieu de résidence habituelle est un pays et codé en alphanumérique, il faut le
changer en numérique à trois
(3) positions comme indiqué plus haut dans la
colonne
P9.
• Les codes de cercle pour désigner les différents lieux (naissance, résidence
antérieure et résidence habituelle) à deux positions sont à changer en code à
trois positions, en ajoutant tout simplement
0 au code à deux positions déjà
inscrit (exple :
11 devient 011
• Si le code 99 est inscrit pour désigner
« NON DECLARE » ,il faudra tout
simplement le barrer, exception est faite pour la commune au niveau de la page
de garde (exple : Si le code 99 figure dans la colonne P6, (date de naissance), il
faut le barrer.
•
Colonne P23 : si le code de l’activit principale d’un individu est
alphanumérique, (exple : X82), ce code est à changer par le nouveau code
numérique de cette activité contenu dans le document « Codes des activités ».
• Tout en apportant les différents changements demandés, les agents devront
corriger toute erreur intervenue lors de la première phase de codification des
dossiers de la région de Kayes.
•
NB : si les colonnes concernées sont trop surchargées et devenues
illisibles, il faudra demander un questionnaire vièrge au chef de table
pour récopier tout le questionnaire avec l’autorisation du chef d’équipe.
II. LA SAISIE DES DONNEES
2.1. ORGANISATION DE LA SAISIE
•
Le système utilisé
La
saisie a été faite avec quarante machines (40) réparties entre trois salles à raison de
trois agents par micro-ordinateur pour un total de cent-vingt agents.
Trois équipes se relayaient jour et nuit avec sept (7) superviseurs. Les dossiers étaient classés par
r gion, cercle, arrondissement et SE. La saisie se faisait suivant l’ordre d’arriv e des documents
qui va du 1er cercle 1er arrondissement de Kayes, au dernier arrondissement cercle du dernier
cercle de Kidal plus le District de Bamako qui compte six communes.
Les machines
(Poste de Saisie ou PS) étaient numérotées de PS1 à PS40 dont PS1 à
PS14 dans la 1ère salle (salleA) ; PS15 à PS27 dans la 2ème salle (salle B) et PS28 à PS40 dans la
3ème salle (salle C).
Chaque agent avait un code opérateur qui lui permettait de travailler sur sa machine.
L’op ration de saisie s’est tal e sur 8 mois (f vrier 1999 f vrier 2000). Il faut signaler que
l’exploitation a a commenc par la saisie des registres de visite de f vrier 1999 mai 1999. Ceci
a permis plus tard de v rifier l’exhaustivit des SE saisies. La saisie des questionnaires m nages
quant elle s’est d roul e de Juin 1999 F vrier 2000.
A cet effet, des r pertoires d’archivage
ont été crées sur chaque poste de saisie :
Mois06 pour juin 1999
Mois07 ‘’ juillet 1999
Mois08 ‘’ août 1999
Mois09 ‘’ septembre
1999
Mois10 ‘’ octobre
1999
Mois11 ‘’ novembre
1999
Mois12 ‘’ d cembre
1999
Mois01 ‘’ janvier
2000
Mois02 ‘’ f vrier
2000
Les saisies des differents mois du poste sont enrgistrées dans le repertoire du mois correspondant.
Les trois agents auront pour le mois juin leurs données dans Mois 06.
•
Le mode de traitement
Les agents étaient remunérés à la tache (selon le nombre de caractères saisis).
Cette estmation tait faite partir d’un programme install sur chaque poste et qui
permettait à chaque agent de relever le nombre de caractères saisis après chaque
session. Pour chaque SE saisie, un fichier de données appelé
«fichier log » était créé.
Ceci permettait d’avoir les statistiques sur la date, l’heure du d but de la saisie ; la
date et l’heure de fin de la saisie, le nombre de frappes partir de l’introduction du
code de l’agent recenseur dans la machine.
2.2 EXECUTION DE LA SAISIE
La saisie des donn es a t effectu e l’aide du module de saisie « CENTRY ».
•
Aperçu de CENTRY
Le système
CENTRY (abréviation de
CENsus data en
TRY, en français saisie des
données de recensement) est un progiciel destiné à développer des applications de saisie,
vérification et modification de données et à collecter des statistiques sur ces opérations. Le
système crée des écrans conformes aux questionnaires et est géré par menu. CENTRY a été
élaboré par le
International Statistical Program Center (ISPC) du
United States Bureau of the
Census et constitue un outil complet, simple, rapide et peu coûteux de saisie et de mise à jour, par
micro-ordinateurs, d'un volume considérable de données issues d'un recensement ou d'une
enquête.
Ce ISPC a développé un système intégré de traitement sur micro-ordinateur «
Integrated
Microcomputer Processing System » (
IMPS), pour traiter les données recueillies lors des
recensements nationaux. CENTRY est le module de saisie des données du système IMPS. Il est
écrit en langage C pour améliorer au maximum ses performances. Il se sert du même dictionnaire
de définition des données que les autres modules du système IMPS, ce qui rend son utilisation
particulièrement avantageuse quand les modules CONCOR et CENTS sont utilisés. D'autres
progiciels de saisie nécessiteraient la création de leur propre dictionnaire de définition des
données.
•
Saisie des données à l'aide de CENTRY
2.3 Aperçu des procédures de saisie des données
L’application suivante a t d velopp e pour l’introduction des donn es du Recensement G n ral
de la Population et de l'Habitat d’avril 1998 au moyen d'une application d velopp e par le
module «
Develop applications » de CENTRY :
2.3.1 Accès au module Data entry
Pour les machines IBM
Exemple RGPH:
Après l'ouverture de WINDOWS98,
Cliquez sur l'Icône Démarrer,
Cliquez sur Arrêter.
Après l'apparution de la boîte de dialogue,
Cliquez sur Redémarrer en mode MS-DOS,
Cliquez sur OK .
Maintenant on se trouve dans l'environnement du DOS
C:\\\\WINDOWS>
En ce moment taper
C:\\\\WINDOWS>cd\\\\rgph et validez Taper au
prompt DOS.
C:\\\\RGPH>d espace <numéro du batch> espace <lookup file> et validez
NB: Valider veut dire faire
Entrée
Pour les machines DELL
Exemple RGPH:
mettre en marche l’ordinateur, le logo DELL apparaît pendant 2 secondes
Le chargement du
WINDOWS NT4 en memoire commence (30 secondes)
Un écran bleu apparaît pendant 5 secondes
Le logo de
WINDOWS NT4 apparaît
Le logo de de l’ouverture de session apparaît en indiquant d’appuyer sur
CTRL+ALT+DEL et la touche
« ENTREE »
La boîte de dialogue d’introduction du mot de passe apparaît, cliquez sur OK
Le bureau de
WINDOWS NT4 apparaît avec ses icônes
-cliquez sur
start
-cliquez sur
programme et la boîte de dialogue apparaît à droite
-cliquez sur
command prompt
taper
C:\\\\>cd <espace> rgph et validez Taper ensuite
C:\\\\RGPH>d espace <numéro du batch> espace <lookup file> et validez
NB: Valider veut dire faire
Entrée
23.2 Identification du Batch
a)
Introduction du numéro de BATCH
exemple : 1173034
où 1173 : désigne le Code de l’Arrondissement
et 034 : désigne le Code de la S.E. (Section d’Enumeration)
et
du Lookup File (fichier de réference des localités du cercle)
exemple : c11001
où c : désigne la Commune
11 : désigne les 2 premiers chiffres du numéro de batch
001 : désigne le numéro de la commune
Ainsi sont créés les repertoires RGPHD pour la saisie en cours, RGPHV pour la
vérification de la saisie et RGPHBU pour les archives
b) Liste du programme RGPH.BAT
@Echo off
if %1 %0==%0 GOTO HLP
if %2 %0==%0 GOTO HLP
:DEBUT
Option rgphmen.txt Y X E V S
If Errorlevel 5 Goto SAI
If Errorlevel 4 Goto VER
If Errorlevel 3 Goto EXT
If Errorlevel 2 Goto STS
If Errorlevel 1 Goto STV
If Errorlevel 0 Goto END
Goto DEBUT
REM *****************************************************
:SAI
REM APPEL DU BACH DE SAISIE
REM %1=R‚f‚rence SE (R‚gion, Cercle, Arrondissement, SE)
REM %2=LOOK UP FILE (Table des codes g‚ographiques)
CD\\\\RGPHD
c:\\\\rgph\\\\EX C:\\\\RGPH\\\\RGPH %1 NUL c:\\\\rgph\\\\RGPHDE c:\\\\rgph\\\\%2
COPY %1.B* C:\\\\RGPHBU
CD\\\\RGPH
Goto DEBUT
REM ******************************************************
:VER
REM %1=R‚f‚rence SE (R‚gion, Cercle, Arrondissement, SE)
REM %2=LOOK UP FILE (Table des codes g‚ographiques)
CD\\\\RGPHV
MODE=<A/M/V>
IF EXIST %1.B* GOTO EN1
COPY C:\\\\rgphd\\\\%1.B*
:EN1
IF EXIST %1.LOG GOTO EN2
COPY C:\\\\rgph\\\\EMPTY.LOG %1.LOG
:EN2
c:\\\\rgph\\\\EX C:\\\\RGPH\\\\RGPH %1 NUL c:\\\\rgph\\\\RGPHDE c:\\\\rgph\\\\%2
COPY %1.B* C:\\\\RGPHBU
CD\\\\RGPH
Goto DEBUT
REM ******************************************************
:EXT
CD\\\\RGPHV
IF EXIST %1.BCH GOTO EN3
GOTO ERR
:EN3
IF EXIST %1.LOG GOTO EN4
GOTO ERR
:EN4
ECHO
*********************************************************************
ECHO * *
ECHO * *
ECHO * INSEREZ LA DISQUETTE DANS LE LECTEUR A:\\\\ *
ECHO * *
ECHO * *
ECHO *
*******************************************************************
PAUSE
COPY %1.BCH a:\\\\
COPY %1.LOG+ c:\\\\RGPHD\\\\%1.LOG a:\\\\%1.LOG
CD\\\\RGPH
Goto DEBUT
:STS
CD\\\\RGPHD
c:\\\\rgph\\\\QBASIC /RUN c:\\\\rgph\\\\STATAG.BAS
cd\\\\rgph
GOTO DEBUT
:STV
CD\\\\RGPHV
c:\\\\rgph\\\\QBASIC /RUN C:\\\\rgph\\\\STATAG.BAS
cd\\\\rgph
GOTO DEBUT
:ERR
CLS
ECHO
*********************************************************************
ECHO * *
ECHO * *
ECHO * CE DOSSIER N'A PAS ETE VERIFIE *
ECHO * *
ECHO * *
ECHO *
*******************************************************************
PAUSE
CD\\\\RGPH
GOTO DEBUT
:HLP
ECHO
*********************************************************************
ECHO * *
ECHO * *
ECHO * SYNTAXE : RGPH REFERENCE SE LOOK UP FILE *
ECHO * *
ECHO * *
ECHO *
*******************************************************************
CD\\\\RGPH
GOTO DEBUT
:END
CLS
Le menu apparaît avec ses cinq options suivantes :
╔════════════════════════════════════════════════════════╗
║████████ MENU DE TRAITEMENT DES DONNEES DU RGPH 98 ████████ ║
╠════════════════════════════════════════════════════════╣
║ ║
║ S. Saisie ║
║ ║
║ V. Vérification ║
║ ║
║ E. Extraction ║
║ ║
║ X. Statistiques pour saisie ║
║ ║
║ Y. Statistiques pour vérification ║
║ ║
╠════════════════════════════════════════════════════════╣
║░░░░░░░░░░░░░░░░░ Tapez votre Choix [ ] ░░░░░░░░░░░░░░░░░░░ ║
╚════════════════════════════════════════════════════════╝
S : pour faire la saisie
V : pour vérifier un dossier saisie
E : extraire le dossier déjà saisi et vérifié pour la machine de traitement
X : nombre de touches frappées pour la saisie du dossier
Y : nombre de touches frappées pour la vérification du dossier
2.3.3 Identification de l'opérateur
Apr s la cr ation du batch, il fallait proc der l’identification de chaque op rateur
l’aide d’un code affect chacun d’eux.
Le graphique suivant montre l’ volution du nombre de frappes de f vrier 1999 f vrier 2000.
1200000
1000000
800000
600000
Série1
400000
Série2
200000
0
MOIS
avr-99
juil-99
oct-99
janv-00
Graphique 4.
2.3.4 PROBLEMES RENCONTRES ET SOLUTIONS PROPOSEES
Beaucoup de probl mes ont t rencontr s dans cette section cause l’impr paration du logiciel
utilisé (IMPS). En effet, dès le début de la production des listings de la région de Kayes, des
différences notoires étaient constatées dans les effectifs de population, le nombre de ménages et
de concessions issus des r sultats provisoires et ceux de l’exploitation des questionnaires. Cette
situation pourrait s’expliquer en partie par les raisons suivantes :
1) Ménages et concessions :
Il a été constaté que :
a) malgré les dispositions prises dans la gestion des questionnaires à problème au
niveau de la section v rification, certains m nages n’ont pas t clat s. Ainsi, deux
ou plusieurs ménages figurant sur un même questionnaire seront comptés comme un
seul ménage.
b)les informations de l’habitat ne sont disponibles que sur le seul m nage compt
2) Population résidente :
La différence de population était due à la non exhaustivité de la saisie de certains dossiers.
S’agissant de la pr sence de deux ou plusieurs chefs dans un m me m nage, il a t
remarqué que certains ménages ont été saisis sans être éclatés et tous les chefs de ménage
ont t saisis avec le code 1 comme tant membre d’un m me m nage. De m me l’habitat
concernant ces m nages n’a t saisi qu’une seule fois.
Par rapport au lien entre le chef de ménage et les autres membres, il faut noter que
dans le cas des m nages de taille lev e, le lien est doublement tabli, c’est-à-dire d’une
part entre le chef de m nage et son fr re mari et d’autre part entre ce dernier et son
épouse.
Pour résoudre ces différents cas, il a été demandé aux informaticiens de mener les
activités suivantes :
a) écrire un programme pouvant détecter et corriger tous les ménages contenant
deux ou plusieurs chefs afin de les séparer ;
b) Ecrire un programme pouvant détecter et corriger les ménages où le lien de
parenté est établi entre des individus autres que le chef de ménage ;
c) Ecrire un programme permettant de détecter et corriger les concessions dont
les num ros sont r p t s l’int rieur de la SE ;
d) Ecrire un programme permettant de détecter et corriger les ménages dont les
num ros sont r p t s l’int rieur de la concession ;
e) les questionnaires non saisis devaient l’ tre imm diatement et ceux saisis en
partie devaient être achevés.
Par ailleurs, des groupes de travail ont été constitués afin de trouver des solutions à
l’ensemble des probl mes techniques rencontr s dans le traitement des dossiers de la
région de Koulikoro par laquelle la saisie a commencé. Chaque groupe était constitué
d’un d mographe, un informaticien et un cartographe. Chacun des groupes avait comme
mandat d’identifier sur un listing pr alablement tabli, les SE probl me, ensuite,
examiner leur contenu afin noter les types de problèmes, compter le nombre de
concessions et de ménages qui seront plus tard comparés à ceux issues du traitement
informatique (listing) sur un support conçu pour la circonstance. Ainsi, les types de
problèmes recensés se résumaient essentiellement à :
• la différence entre le nombre de concessions et de ménages issus de la
vérification manuelle des dossiers et celui du traitement informatique ;
• la num rotation des concessions l’int rieur des SE, surtout celles constitu es
de deux ou plusieurs villages ou fractions.
• La différence entre le nombre de ménages et habitats. En effet, deux ou
plusieurs ménages confondus en un seul ménage ont un seul habitat.
Ces trois facteurs influaient beaucoup sur l’effectif de la population r sidente et le
nombre d’habitats, car il n’y aura pas autant d’habitats que de m nages.
Des dispositions n cessaires ont t prises afin d’int grer les corrections de probl mes
cités ci-dessus dans le logiciel de traitement, notamment en insérant dans les SE, les
concessions sautées et dans celles-ci les ménages sautés au cour de la première saisie
des dossiers. Pour le nombre, il s’agissait d’affecter apr s s paration des m nages
confus en un seul m nage, un habitat tout m nage ne disposant pas d’habitat. Ceci
veut dire qu’il fallait que ce type d’habitat devrait tre le m me que celui qu’ils
avaient en commun.
III. EPURATION DES DONNEES
Apr s la saisie, l’ensemble des donn es ont t transf r es sur support
informatique. Ainsi, les fichiers brûts constitués devaient subir sur ordinateur, un
contrôle de validité des données et de cohérence des informations en vue de leur
redressement.
Il faut noter que l’avantage du redressement par ordinateur est le d gr de pr cision
et d’uniformit qui ne peut tre obtenu manuellement. De plus, l’aide de
l’ordinateur, il est possible de contrôler non seulement la validit d’une donn e, mais
aussi d’effectuer des tests des coh rence sur plusieurs variables logiquement li es
entre elles et étudier simultanement.
3.1 CONCEPTION DU PROGRAMME DE SAISIE
Cette phase d’ puration des donn es du troisi me recensement g n ral de la
population et de l’habitat a t r alis e avec l’utilisation du logiciel CONCOR qui est
le logiciel mieux indiqué en la matière. Il permet de :
• tester la structure : il s’agit l du contrôle de pr sence et de multiplicit des
enregistrements ;
• tester la validité des données ;
• tester la cohérence des donnnées ;
• rempler automatiquement les valeurs érronnées.
3.2 ELABORATION DU CAHIER DE CHARGE
En lieu et place du cahier de charge, plusieurs programmes spécifiques ont étés
élaborés par les informaticiens en collaboration avec les démographes. Ces
programmes sont disponibles au BCR.
3.3 EXECUTION DE L’OPERATION, DIFFICULTES
RENCONTREES ET SOLUTIONS APPORTEES
Les travaux d’apurement des donn es ont commen en mars 2000 et ont mobils
l’ensemble des cadres affect s au BCR pour la phase d’exploitation. Les donn es ont t
trait es par r gion. L’apurement tait souvent r prise pour certaines r gions cause de la
non exhaustivité des localités conformement au nouveau découpage territorial issu de la
décentralisation. Ainsi, il fallait souvent procéder à des créations de nouveaux codes pour
les localités non parrues sur la liste de telle ou telle commune. Donc, après chaque
passage, des programmes de redressement, les codes géographiques, de nettoyage, de tri
de données et de création de codes urbain / rural, les incohérences détectées étaient
corrigées à la suite de modifications apportées dans les programmes.
IV. TABULATION DES DONNEES
La phase finale du traitement des données du recensement est la production des
tableaux pour la publication des résultats. Pour cela, différents logiciels existent en
vue de réduire le temps de programmation.
4.1 CONCEPTION DU PROGRAMME DE TABULATION
Le programme de tabulation des données a été développé à partir du logiciel CENT.
Ce logiciel permet de traiter éfficacement de très grands fichiers de données. Aussi,
aucune restriction n’existe quant au nombre maximum de cas trait s. Le programme
de tabulation a été développé par le Directeur National Adjoint de la Statistique et de
l’Informatique, lui-même démographe.
1.2 EXECUTION DE LA TABULATION
La phase de tabulation proprement dite a commen par l’ dition des tableaux tests
partir de janvier 2001. Lesdits tableaux devaient contenir une masse d’informations
répondant aux besoins de différents utilisateurs de divers secteurs. Au cours de ce
processus, des discussions des résultas, des révisions de la chaine de traitement, des
corrections des programmes d’ puration, de r -épuration et de ré-édition de tableaux
étaient souvent opérées. Les tableaux définitifs ont été publiés en décembre 2001.
V. PUBLICATION DES DONNEES
5.1 PLAN DE PUBLICATION
Apr s l’exploitation des donn es, plusieurs tableaux de donn es brutes ont t publi s
par le BCR. Ils sont consignés dans six tomes répresantant les huit régions
administratives du pays, le district de Bamako et l’ensemble du pays. Ce sont :
• Le tome 1 qui est la Serie Démographique contient les tableaux relatifs aux
informations démographiques, socio-culturelles, aux naissances et aux décès ;
• Le tome 2 qui est la Serie Economique contient les tableaux relatifs l’activit
économique ;
• Le tome 3 qui est la Serie Habitat contient les tableaux relatifs l’habitat ;
• Le tome 4 concerne le répertoire des villages qui donne la répartition de la population
résidente par sexe, le nombre de concessions et de ménages par village ou quartier ;
• Les tomes 5 et 6 contiennent respectivement la base de sondage et le découpage
censitaire.
La base de sondage fournit la répartition de la population résidente par sexe, nombre de
concessions et de m nages pour chaque section d’ num ration (SE) assorti d’un num ro
d’ordre sur l’ensemble des SE du pays et le cumul de m nages. Quant au d coupage
censitaire, il présente la répartition de la population résidente par sexe pour chaque section
d’ num ration avec la liste des villages de chaque SE.
A cette liste, il faut également ajouter le document « PRINCIPAUX RESULTATS »
qui donne de façon très synthétiques les résultats en ce qui concerne la répartition
g ographique de la population, le mode de vie, la structure par ge, l’ tat matrimonial, la
scolarisation, l’alphab tisation, l’activit conomique, le handicap ainsi que les
caract ristiques de l’habitat.
5.2 REPRODUCTION DES DOCUMENTS
Dans le cadre de la réproduction des documents, la DNSI a utilisé un lot de
matériels performants. Ce sont :
1 un duplicopieur de grande capacité « RISOGRAPHE FR 3910 EP » et un perforateur de
papier acquis sur fonds de l’Union Europ enne ;
2 une imprimante Laser et un photocopieur achet s sur budget de l’Etat ;
3 une autre imprimante Lazer offerte par le FNUAP.
Apr s la r production, les documents ont t envoy s l’imprimerie pour la reliure.
Par ailleurs, il est prévu de produire :
• 500 exemplaires du tome 1
• 500 exemplaires du tome 2
• 500 exemplaires du tome 3
• 1000 exemplaires du tome 4
• 500 exemplaires du tome 5
• 500 exemplaires du tome 6
5.3 PROBLEMES RENCONTRES ET SOLUTIONS APPORTEES
Malgré les moyens matériels évoqués ci-dessus, la réproduction des documents a connu
quelques perturbations dues à des pannes repétées du duplicopieur du BCR. Le service
fournisseur de l’appareil de r production tait tr s souvent sollicit pour intervenir sur la
machine. Pour remédier à cet arrêt de la réproduction des documents, le BCR utilisait souvent les
iprimantes Laser en attendant le d pannage de la machine de r production. C’est ainsi que
quelques centaines d’exemplaires des diff rents tomes ont pu tre r produits et distribu s aux
structures de l’Etat, part naires au d veloppement ayant particip au financement du
recensement et pour satisfaire les besoins des différents utilisateurs.
VI . ANALYSE DES DONNEES
Apr s la disponibilit des r sultats d finitifs obtenus la suite de l’exploitation
informatique des donn es du troisi me recensement g n ral de la population et de l‘habitat, des
informations très détaillées sur la population malienne ont été obtenues. Une analyse approfondie
de ces informations serait d’un tr s grand inter t pour disposer d’outils efficaces de planification
pour le d veloppement conomique et social du pays. Ainsi, apr s l’adoption des r sultats
définitifs par le Gouvernement en avril 20001, celui-ci a ensuite ordonn de faire l’analyse des
données par une équipe pluridisciplinaire.
6.1 CONSTITUTION DE L’EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE
L’ quipe pluridisciplinaire charg e de l’analyse aprofondie des donn es a t constitu e
conformement l’objectif principal vis par le troisi me recensement g énéral de la population et
de l’habitat :
mettre à la disposition des autorités, les instruments de lutte contre la
pauvtreté. Les membre de l ‘ quipe pluridisciplinaire repr sentent l’ensemble des secteurs
concernés par les actions de réduction de la pauvreté au Mali.
6.2 THEMES D’ANALYSE
A la suite des différentes concertations tenues à la DNSI autour de la question, les thèmes
suivants ont été retenus :
1. Caractéristiques de la population;
2. Jeunesse et pauvreté;
3. Nomades et pauvreté ;
4. Femmes et pauvreté;
5. Population agricole et pauvreté;
6. Scolarisation, alphabétisation et pauvreté;
7. Migration et pauvreté;
8. Dynamique naturelle de la population et pauvreté;
9. Conditions de vie des ménages et pauvreté ;
10. Activités économiques et pauvreté;
11. Rapport administratif et technique.
Le calendrier ci-dessous avait initialement t labor dans le cadre de l’analyse des r sultats
brûts :
Tableau Nº 9 : Calendrier des activites d’analyse, de publication et de diffusion
des résultats
ACTIVITES
LIEU
DEBUT
DUREE
1. ANALYSE DES DONNEES
Bamako
septembre 1999 2 mois
2.PUBLICATION ET DIFFUSION
DES RESULTATS
Bamako
juin 1999
20 mois
2. SEMINAIRE NATIONAL
Bamako
décembre 2000
5 jours
CHAPITRE III
FINANCEMENT DU
RECENSEMENT ET ASSISTANCES
RECUES
I. FINANCEMENT DU RECENSEMENT
L’ valuation du budget d’un recensement constitut le premier l ment d’importance lors de la
phase de pr paration du document de projet. A cette phase, toute omission d’action, toute sous-
estimation entrainera des réajustements de budget. Le retard retard dans le démarrage des travaux
n cessitera galement la prise en compte des effets de l’inflation.
La réalisation du projet a exigé une enveloppe financière de 2,5 milliards de francs CFA
environ. Compte tenu des difficultés et restrictions budgétaires du pays qui est en période
d'ajustement structurel, les ressources du Mali ne permettaient pas de couvrir entièrement cette
enveloppe. Le Gouvernement du Mali a donc sollicite auprès de ses partenaires au
développement une contribution qui s'élèvait à 1,7 milliards.
1.1 FINANCEMENT EXTERIEUR
Le financement récherché auprès du FNUAP devait couvrir les dépenses relatives à la réalisation
des travaux préparatoires (cartographie, et impression des supports de collecte) et était réparti
entre les gros chapitres consignés dans le tableau ci-après.
Tableau 10 : Récapitulatif du budget récherché (en milliers de fcfa)
ELEMENTS
TOTAL
1997
1998
1999
2000
I. Personnel du projet
11970, 0
10920, 0
1050, 0
II. Sensibilisation
18775, 0
12750, 0
6025, 0
III. Equipements et matériels fongibles
70500, 0
IV. Matériels fongibles
47050
V. Impression
40250
VI. Carburant
11232
VII. Entretien
200
TOTAL
199977, 0
23670, 0
7075, 0
L’UNICEF a pris en charge les travaux de la cartogaphie ( formation, logistique et salaire
des agents) pour un montant de 211 millions de francs CFA, La Banque Mondiale a financé une
partie des travaux préparatoires et les travaux de collecte pour 794 millions de francs CFA dont
732 millions de francs CFA pour la phase de collecte. La Coopération Candienne a contribué au
financement des travaux pr paratoires ainsi qu’ la phase d’exploitation pour un montant de 154
millions de francs CFA. La Commission des communautes Européenne a contribué pour un
montant de 364 millions de francs au financement de l’exploitation des donn es.
En
financant les activites du troisieme recensement général de la population et de
l’habitat, le Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP), le Fonds des Nations Unies
pour l’Enfance (UNICEF), la Coop ration Canadienne, la Banque Mondiale et l’Union
Européenne viennent de démontrer une fois de plus leur ferme volonté et leur disponibilite totale
d’aider le Mali mieux connaître sa population afin de mieux planifier son d veloppement
économique et social.
1.2. Apport du Gouvernement
La contribution du Gouvernement au financement du recensement s’ l vait 821 millions de
Francs CFA. Ce montant représentait le salaire du personnel, l'équipement, le fonctionnement, le
local et son entretien, etc... Le tableau ci-dessous les détails.
(EN
TABLEAU N°11 APPORT DU
MILLIERS
DE FCFA)
GOUVERNEMENT
E L E M E N T S
T O T A L
1996
1997
1998 1999
I. BCR BRR
A. Personnel
Directeur National Projet
11740
2935
2935
2935 2935
Chef BCR
9784
2446
2446
2446 2446
6 Démographes
37178
10139
9013
9013 9013
2 Statisticiens
15654
3914
3914
3914 3914
1 Comptable
5870
1957
1957
1957 0
1 Secrétaire
3913
978
978
978
978
1 Planton
1957
489
489
489
489
2 Gardiens
1957
489
489
489
489
3 Chauffeurs
3913
662
1084
1084 1084
8 Chefs BRR
23481
15654
7827
0
0
16 Agents BRR
43048
28699
14349
0
0
5 Agents dessinateurs
11740
2935
2935
2935 2935
Primes Agents
25437
7076
11551
6810 0
SOUS TOTAL
195672
78373
59967
33049 24283
B. Fonctionnement
- Carburant
50564
15104
11820
11820 11820
- Entretien
17238
5143
4032
4032 4032
- Fournitures
47116
12640
8843
7331 18302
SOUS TOTAL
114918
32886
24695
23183 34154
T O T A L I.
310590
111260
84662
56232 58437
II.SENSIBILISATION
10710
10710
0
0
0
III. DENOMBREMENT
Personnel
Indem. formation
80968
80968
0
0
0
SOUS TOTAL
80968
80968
0
0
0
Matériel
Carburant
166373
166373
0
0
0
Entretien
15324
15324
0
0
0
Autres fournitures
37215
37215
0
0
0
SOUS TOTAL
218912
218912
0
0
0
T O T A L III.
299880
299880
0
0
0
IV. EXPLOITATION
1 Informaticien
3059
0
1530
1530 0
4 Programmeurs
12235
0
6118
6118 0
SOUS TOTAL
15294
0
7647
7647 0
B. MATERIEL
Stabilisateurs
1439
0
1439
0
0
Carburant
35266
0
17633
17633 0
Entretien
5038
0
2519
2519 0
Fournitures diverses
10796
0
2107
2107 6583
SOUS TOTAL
71971
0
43488
22334 6149
T O T A L IV
87265
0
51135
29981 6149
V. AMENAGEMENTS
LOCAUX
21420
21420
0
0
0
VI. SEMINAIRE
10710
0
0
0
10710
DIVERS 10%
80484
51824
13580
8621 6459
T O T A L G E N E R A L
821060
495094
149377
94834 81755
1.3. PROBLEMES DE FINANCEMENT ET SOLUTIONS APPORTEES
Dans le cadre du financement du troisième recensement général de la population et de
l’habitat, il n’a pas t possible de mobiliser l’ensemble des ressources n c ssaires avant le
d marrage des travaux. C’est pourquoi, diff rentes requ tes ont t adress es aux part naires au
d veloppement coucernant la prise en charge des diff rentes phases de l’op ration.
Dans le cas du troisi me recensement g n ral de la population et de l’habitat, le deuxi me
lement n gatif a jou sur le cour normal des travaux d’exploitation des donn es.
En effet, apr s la publication des r sultats provisoires, le d marrage des travaux de l’exploitation
informatique des questionnaires a accusé un retard de huit mois à cause de la mise place tardive
des fonds destin s l’exploitation des donn es.
L’exploitation des donn es n’a donc pu commencer qu’en f vrier 1999. Durant les premiers
mois de la phase d’exploitation, le paiement des primes des agents a parfois connu des retards
toujours cons cutifs la non disponibilit des fonds.C’est pourquoi, la Direction de la Statistique
était souvent appelée à demander des avances de fonds auprès de la Direction Administrative et
Financiere du Ministere de l’Economie, du Plan et de l’Int gration pour payer les agents en
attendant le rembourssement par la Coop ration Canadienne. Cette situation a persist jusqu’au
mois de juin 1999 avec la mise en place des fonds de l’Union Europ enne, bouclant ainsi le
financement de l’op ration.
II. ASSISTANCES RECUES
Après les deux premiers recensements, le Mali a acquis une solide expérience en matière
de recensement général de la population et dispose actuellement de compétences nationales
capables bien mener l’op ration.
C’est ainsi que contrairement aux deux premiers recensement, durant toutes les phases du
troisi me recensement, le Mali n’a re u que trois missions d’appui :
• Mission en 1997 de Monsieur Hamady Bory SOW de l’EAT-FNUAP de
Dakar. Cette mission s’inscrivait dans le cadre d’un appui aux cadres du BCR
dans les activités préparatoires du troisième recensement général de la
population et de l’habitat.
• Mission du 9 au 19 mars 1999 de Monsieur Robert DE CLERQ, conseiller de
l’EAT-FNUAP, Dakar. L’objet de cette mission a port sur l’am lioration de
la chaîne de traitement des donn es et les aspects relatifs l’organisation de la
saisie.
• Mission du 10 au 12 mars 1999 de Monsieur Richard Dakam Ngatchou,
conseiller r gional de l’EAT-FNUAP en analyse et recherche. Cette mission
avait pour but de :
• Aider l’identification des th mes d’analyse en collaboration avec les cadres
du BCR impliqu s dans l’exploitation et l’analyse des donn es du recensement
• Aider l’ laboration des t tes de chapitre des th mes retenus
• Aider l’identification des tableaux statistiques n cessaires la mise en uvre
de l’analyse des th mes retenus
• Aider l’ laboration d’un calendrier / plan.
Il faut galement noter que durant la phase pr paratoire et celle de l‘exploitation,
certains cadres du BCR ont b n fici du formation l’EAT-FNUAP à Dakar :
• Formation du 20 février au 5 mars 1998 de Messieurs Seydou DIALLO et
Amadou K. TALL en saisie des données de recensement
• Formation du 25 avril au 15 mai 1999 de Messieurs Souleymane BA, Minkaila
B. MAIGA, Guédiouma TANGARA et Oumar S. DIARRA en
analyse des données de recensement
• Formation du 5 septembre au 2 octobre 1999 en le traitement des données de
recensement.
ANNEXES
LISTE DES CHEFS DE TABLE
1. VERIFICATION
Mme TRAORE Ami DOUMBIA
Mme COULIBALY Fatoumata TRAORE
Mme COULIBALY Ami SIDIBE
Mme TRAORE Fatoumata KAREMBE
Mme KEITA Faoumata TRAORE
Mme Salimata KOITA
me
aby ’ Y
Mme KONE Oumou DIALLO
Mme KEITA Saranfing KEITA
me
’aye Y
2. CODIFICATION
Kassoum SANGARE
Soumana TAGALA
Alassane BERTHE
Isidore CAMARA
Mme CAMARA Maimouna DIABY
Boubacar FAINKE
Soumaila NIAMBELE
SECTION ARCHIVES
Mr Hamidou ONGOIBA
Daouda SOW
Mme DIAWARA Fatoumata DICKO
Mme Djenébou DAOU
Oumar YANOGA
Moussa GUINDO
PERSONNEL D’ PPUI
Mme COULIBALY Assitan DIAKITE, Secretaire
Mme DISSA Kadiatou DIOP, Planton
Mr Idi SOW, renotypiste
Bouya KEITA, Gardien
Barou SAMAKE, Chauffeur
Mamoutou SIDIBE, Chauffeur
Bourama DOUMBIA, Chauffeur
COMPTABILITE
Mr Mohamed KONTE, Comptable
LISTE DES AGENTS DE LA VERIFICATION
Nº
Prénoms et Noms
1
Dossé DIARRA
2
Sidiki GUINDO
3
Idrissa BALLO
4
Cheick DOUMBIA
5
Mamou TOGOLA
6
Mamady KANOUTE
7
Yacouba TRAORE
8
Korotoumou KONE
9
Mohamed KEITA
10
Abdoulaye DIALLO
11
Mamadou SANOGO
12
Ibou NIANG
13
Mme Massaba KEITA
14
Aminata O. SISSOKO
15
Souleymane TRAORE
16
KONATE Assitan SOKONA
17
Oumar DICKO
18
Ousmane TAMBOURA
19
Souaibou H. TRAORE
20
Idrissa FAYE
21
Kadiomo Nestor DEMBELE
22
Abdoul Karim DIAWARA
23
Mory TRAORE
24
Aliou DOUMBIA
25
Mamadou GUISSE
26
Dramane M. DEMBELE
27
Moussa KEITA
28
Moussomakan KEITA
29
Tahirou G. KANTE
30
Abdramane TRAORE
31
Moussa DIALLO
32
Ibrahim TRAORE
33
Sekou TOURE
34
Fatoumata DIARRA
35
Alassane NIMAGA
36
Kissima DICKO
37
Sory TANGARA
38
Aramata COULIBALY
39
Mamadou Toki DABO
40
Mamadou Mary TRAORE
41
Daouda N'DIAYE
42
Alou MALLE
43
Sekouba SIDIBE
44
Mamadou BAGAYOKO
45
Mamadou KODIO
46
Boubacar Y. KANOUTE
47
Abdramane HAIDARA
48
Moussa SISSOKO nº 1 Tab.2
49
Sekouba TOE
50
Aly SANKARE
51
Mamadou TOGOLA
52
Moctar DIALLO
53
Ibrahim Salah DICKO
54
Mahamar SIKABAR
55
Assetou SACKO
56
Moussa SISSOKO nº 2 Tab.3
57
Tidiane KEITA
58
Alassane TAMBOURA
59
Issa DAGNON
60
Badra Alou BA
61
CISSE Fatoumata B. DIALLO
62
Souleymane MAGASSA
63
Souleymane DIALLO
64
Abdou Karim KEITA
65
Abdoulaye SAMAKE
66
Assitan TRAORE
67
Noel DIARRA
68
Sékou TRAORE
69
Mamadou DJENAPO
70
Demba COULIBALY
71
Seydou DICKO
LISTE DES AGENTS DE LA CODIFICATION
Nº
Prénoms et Noms
1
Aminata NANGO
2
Awa TAMBOURA
3
Boubacar SACKO
4
Ibrahima Sory SISSOKO
5
Mamadou CAMARA
6
Moussa KEITA
7
Abdramane DIABY
8
Adama BAMBA
9
Demba SOUMARE
10
Mlle Madina SIDIBE
11
Mme COULIBALY Bintou
12
Mme SOW Oualifa
13
Moussa DOUMBIA
14
Amadou MAIGA
15
Aminata DJIGA
16
Cathérine MAIGA
17
Mariam B. DIALLO
18
Mlle DIALLO Maimouna
19
Moussa SANGARE
20
Mme DICKO AWA TRAORE
21
Adama DAOU
22
Ibrahim DIAKITE
23
Kadiatou SANGARE
24
Mme KONE Kadiatou
25
Mme Yaye THIAM
26
Amadou COULIBALY
27
Fatoumata SOUMARE
28
Mohamed DOUMBIA
29
KEITA Oumou Alhousseyni
30
Hawa DIARRA
31
Hangourdo BA
32
Oumar COULIBALY
33
Mme FOFANA Fanta G.
34
Mariam BANE
35
Moussa Mambi KEITA
36
Drissa KONE
37
Mme KONATE Nana TOURE
38
Mariam TOURE
39
Oumar Allaye CISSE
40
Mme KOUYATE Fatoumata
41
Badra Alou KONE
42
Mme DIAWARA Oumou T.
43
Mme BAGAYOKO Fatoumata
44
Moussa KONE
45
Aguibou Macky TALL
46
Hady TALL
LISTE DES AGENTS DE SAISIE
1er groupe
SALLE A : Equipe : 1
D39 Mlle Assitan DIARRA D09 Aminata N'DAOU D04 Aïssata MAIGA D03 Aïssa DICKO D05 Alpha Seydou SANGARE D10 Aminata TRAORE D40 Madame TOURE Assétou DIALLO
D07 Ami CISSE D23 Haoua MAIGA D08 Aminata KEITA D12 Assitan DIABATE D11 Assétou FOMBA D13 Bréhima TRAORE D06 Amahissata KEITA
SALLE B : Equipe : 2
D02 Sitan TOURE D22 Fatoumata SANGARE D24 Ibrahima Mary COULIBALY DB9 Awa DIAKITE D16 Fanta SANGARE D20 Fatoumata H. DIARRA 21 D25 Inaïssa DIALLO D27 Kadiatou DEME
DC2 Mme BAGAYOGO Mariam DAOU D19 Fatoumata CISSE D21 Fatoumata ONGOIBA D17 Fatimata BERTHE D18 Fatoumata BOCOUM
SALLE C : Equipe :3
DC1 Mme N’DIAYE Korian SACKO
D15 Drissa KONE
D28 Kadiatou MARIKO D29 Fatoumata SAMAKE D30 Kadiatou TRAORE D31 Ly YEBE D32 Madani Amadou BA D33 Madiara THIERO
D34 Mahamadou KONDE dit Souraka
D35 Mamadou Salah DICKO D36 Mamadou Y. TRAORE D37 Mariam COULIBALY D49 Mlle Massitan FOFANA
2ème Groupe
SALLE A : Equipe : 1
D56 Mme KEITA Nathalie SANGARE D67 Mme TRAORE Korotoumou COULIBALY D57 Mme KOITA Massitan TOURE D59 Mlle Aïchatou FANE
D55 Mme KEITA Awa BAGAYOKO
D62 Mme SYLLA Aïcha GUINDO D61 Mme SISSOKO Fatoumata DIARRA D60 Mme SIDIBE Moussou dite Yayi TRAORE D64 Mme TOURE Maïmouna CISSE D41 Mlle Kadiatou TALL
D58 Mme Nènè DIARRA D65 Mme TRAORE Adama TRAORE D66 Mme TRAORE Aly Lalla MAIGA D38 Mariam YARO
SALLE B : Equipe : 2
D63 Mme TANGARA Dialia KONATE
D47 Mme DIAKITE Aoua DIAKITE D54 Mme KEITA Badiala TIGUIDE D52 Mme DISSA Kadiatou dite Tiguida DIOP D46 Mme COULIBALY Maïmouna TEMBELY D51 Mme DICKO Binta CISSE D53 Mme Fatoumata HAIDARA dite BLEMANI D50 Mme DIARRA Fatoumata KARAMBE D48 Mme DIALLO Nènè FASKOYE D42 Mlle Kani SISSOKO D43 Mlle Yayi BOIRE D44 Mme COULIBALY Jacqueline TRAORE D45 Mme COULIBALY Mah DIAKITE
SALLE C : Equipe :3
D68 Madame SIMPARA Hafissatou DIARRA
DB7 Mme BERTHE BANEL
DB8 Assitan KONATE
D71 Ousmane Nour DIALLO
DC3 Mlle Korotoumou BATHILY
D73 Ramata TEMBELY
D74 Ramata WANE
D75 Safiatou BALLO
DB4 Djenéba Chérif BA
D77 Sarata SIDIBE
D78 Sega SISSOKO
DB6 Mme TEMBELY Fatoumata TEMBELY
D80 Zoumana COULIBALY
3ème Groupe :(Equipe fixe de nuit : 23h00mn – 05h00mn)
SALLE A : Equipe :1
D83 Kissima DICKO
D96 Ousmane TAMBOURA
D81 Mamadou BAGAYOGO
D82 Abdramane TRAORE
D84 Tahirou G. KANTE
D86 Issa DAGNON
D87 Abdoulaye SAMAKE
D88 Abdoul Karim DIAWARA
D89 Aly SANKARE
D90 Tidiane KEITA
D91 Mory TRAORE
D93 Alou MALLE
D94 Souleymane KEITA
D95 Yacouba TRAORE
SALLE B : Equipe :2
D14 Drissa DIALLO
D72 Pierre CAMARA
D76 Sallah KONIPO
D79 Bassirou DIAKITE
D01 Abdourahamane TRAORE
D69 Oumarou MOHAMADI
D70 Ousmane DIARRA
D26 Issa DIARRA
D78 Sega SISSOKO
DA7 Fassoun COULIBALY DB1 Abdoulaye DAOU DB3 Mahamadou Djiby CISSE
DA5 Mamadou SINAYOKO
SALLE c : Equipe :3
D92 Mamadou TOGOLA
D85 Alassane TAMBOURA
D97 Mohamed KEITA D98 Gouro DIALL
D99 Makan SIDIBE
DA1 Alou I MAIGA
DA2 Idrissa KEITA DA3 Mamadou DIALLO DA4 Soukouna BADJI DA6 Oumar SANGARE DA8 Ichiaka TRAORE DA9 Cheikna YATASSAYE
DB2 Ibrahima TRAORE
ANNEXE : 2
I. REGISTRE DE VISITE DE L'AGENT RECENSEUR
Région______________________________ Cercle_____________________________ Arrondissement__________________________ DD
N
_____________
SE
Nombre de constructions
RP
RA
V
Total
Constructions
Habitation
Mag./
Cuis.
Autre
M
F
M
M
grenier
Utils.
F
F
(*)
0 Ménage non exploitant agricole -
1 Ménage indépendant -
2 Ménage associé principal -
3 Ménage qssocié secondaire
ANNEXE : 3
REGISTRE DE CIRCULATION DES DOSSIERS ENTRE LES DIFFERENTES SECTIONS
DE L’EXPLOITATION (ARCHIVE, CONTROLE, CODIFICATION, SAISIE)
REGION
CERCLE ARROND. NºSE NBRE DE PROVENANCE
NOME ET
DATE DE
DOSSIERS
DESTINATIO PRENOM DU
RECEPTION
N
DESTINATEUR
ANNEXE 4 :
REGISTRE DE CIRCULATION DES DOSSIERS INTRA-SECTIONS
SECTION…………………………………………………………………….
NOM ET PRENOM DE
QUALIT REGION. CERCLE ARRON NºSE
DATE DE
L’EXPEDITEUR
E
D.
NOMBRE DE
RECEPTIO
DOSSIERS
N
ANNEXE 5
FICHE RÉCAPITULATIVE POUR SE
RÉGION_____________________________________________
CERCLE_____________________________________________
ARRONDISSEMENT/COMMUNE_______________________
DD No________________________________________________
SE No________________________________________________
Village, fraction ou Quartier
Nbre de Conc.
Nbre de Mén.
RP
RA
V
RP + RA
H
F
H
F
H
F
H
F
ANNNEXE 6 : FICHE DE PRODUCTION
SECTION :
NOM ET PRENOM DU CHEF D’EQUIPE
NOM ET PRENOM DU CHEF DE TABLE
NOM ET PRENOM DE L’AGENT
MOIS…………………………….SEMAINE DU……………..AU………………….
REGION CERCL
ARRON NºSE NBRE DE
DATE DE
EMARG.
NBRE
NBRE
DATE DE
E
D.
DOSSIERS RECEPTI
TOTAL
DEMENAGES CONTROL
ON
MENAGES
CONTROLES E
SE
ANNNEXE 7 : FICHE DE PRESENCE
SECTION :
NOM ET PRENOM DU CHEF D’EQUIPE
NOM ET PRENOM DU CHEF DE TABLE
NOM ET PRENOM DE L’AGENT
MOIS…………………………….SEMAINE
DU……………..AU………………….
PRENOMS ET NOMS
LUNDI
MARDI
JEUDI
VENDREDI
MERCREDI